Salut les kiki ! Allez, un nouvel unboxing, ça vous dit ? Et puis celui-ci on peut aisément dire qu’il va être culotté ! lolololololol *comme je suis drôle*. Et je vous avoue que je suis un peu perdu. Dois-je commencer cet article par un éloge historique de ce bout de tissu à travers les âges ? De sa création il y a quelques siècles, en passant par toutes ses déclinaisons connues, voire l’affublation de ce nom commun à d’autres éléments vestimentaires ? Je ne pense pas pouvoir être à même de me lancer là-dedans, et d’autres le font bien mieux que moi. Dois-je alors en faire une apologie plus contemporaine, en analysant les rapports actuels qu’ont certains envers ce dessous ? Ce culte Japonais pour cette pièce dans sa version féminine ? Des « fameux » distributeurs de culottes usagées ? Des bars où l’on peut mater sous les jupes des filles ? Ryo Saeba courant partout, un sous-vêtement sur la tête ? Je ne pense pas pouvoir être à même de me lancer là-dedans, et d’autres le font bien mieux que moi. Dois-je plutôt me rapprocher encore plus de la thématique qui est la nôtre en abordant la culotte dans les jeux vidéo ? Bon, là, admettons, il y aurait de quoi en parler, mais les exemples sont tellement nombreux ! On pourrait faire un article unique ne serait-ce qu’en évoquant Dead or Alive, on bien parler du coquinou qui tente de regarder celle de Ashley dans Resident Evil 4, celle de 2B que l’on voit presque plus que son bandeau, ou encore celle complétement assumée de Juliet Starling. Oui mais bon, je ne pense pas pouvoir être à même de me lancer là-dedans, et d’autres le font bien mieux que moi. Dois-je à contrario parler d’un sujet différent mais lié, à savoir la censure de ce petit triangle dans les jeux vidéo ? En fait je me dis que tout dépends du contexte premier du jeu auquel on s’adonne. Que vient faire ce petit entrejambe dans Kingdom Hearts ? La jupe trop courte de Blaze dans Street of Rage, nécessaire ? Adieu les sous-vêtements des filles de joie dans Sunset Riders ? Pas facile de faire le tri entre l’inutile et l’indispensable, là aussi souvent soumis aux mœurs culturels, variant entre adaptations Asiatiques vers l’Occident… Bref, *soupir* je ne pense pas pouvoir être à même de me lancer là-dedans, et d’autres le font bien mieux que moi. Mouais… In fine tout cela n’est peut-être qu’une histoire de jauge. Un genre d’échelle de l’acceptabilité sur laquelle on ne sait trop où placer le curseur selon les productions. Offusquons-nous d’un bout de fesse dans DMC5, tandis que l’on charcute tout ce qui passe dans un joyeux bain de sang. Quoi qu’il en soit, quand il est revendiqué en amont, le port du petit bateau est bien mieux accueilli et c’est tant mieux ! Senran Kagura, Akiba’s Trip, Deception… tant de licences qui passent de plus en plus nos frontières et qui, au-delà de leur esprit tendancieux, nous propose leur gameplay et leur histoire. Bon, j’aurais aimé un petit Keep Cleaner en France histoire de nettoyer des fringues sales avec ma Wiimote mais on ne peut pas tout avoir. Bref, en attendant nous avons quand même la chance d’avoir ce Panty Party , dans lequel on va effectivement contrôler du slip volant et qui parle (d’où l’expression « parle à mon cul ») peinard, en ville, sans le moindre étonnement. Pour le reste c’est un TPS bien barré ; car oui, votre avatar tire des lasers et possède des armes blanches pour éradiquer cette invasion cucu la praline dont le lore mêle amour, tristesse et rivalités . Tout un programme même si le scénario ne vole pas haut !
Allez, haut les jupes, c’est parti pour l’unboxing même si je ne pense pas pouvoir être à même de me lancer là-dedans, et d’autres le font bien mieux que moi. Jeu sorti le : 15 Septembre 2019 Sur : Nintendo Switch Note JV.com : Pas de note actuellement. Meilleurs prix: Il s’agit d’une exclusivité Play-Asia en partenariat avec Eastasia Soft. Donc pas le choix que de prendre chez eux soit l’édition limité à 47,70€, soit l’édition simple un peu moins chère mais déjà en rupture à l’heure où j’écris ces lignes. La boite
Dimensions : L= 17,5cm x l= 13,5cm x H= 3,5cm Alors. 3 filles mignonettes et tout un tas de culottes flottantes, c’est bon, le thème est lancé. Quoi qu’il en soit c’est encore du bon boulot puisque rien ne vient entacher cette front cover , pas de tampons divers pour nous dire que ça pas bien de montrer ce jeu au petit Timmy de 3 ans. Parfait !
Au dos, on a l’habitude avec les éditions limitées chez Eastasia Soft, on retrouve le numéro d’exemplaire, en l’occurrence le 2174/3000. Pour le reste, rien à redire, culotte à pois et gamine au sac à dos d’ourson. Tout est normal, ne paniquez pas.
J’attire enfin votre attention sur ce qui n’est pas contenu dans la boite (voir photo plus haut) mais ajouté en « à côté », à savoir les classiques stickers et bon de réduc Play-Asia, un autre sticker associé au produit et enfin une mini boite porte clé que l’on verra plus loin. Le déballage
N’ayant rien suivi sur le contenu après une préco faite à l’arrache dans une forêt Québécoise enneigée, je suis vraiment étonné de ce contenu plus que correct ! – 2 planches de stickers – Le certificat numéroté – L’OST – Le jeu en version physique – Une culotte non usagée Stickers et Certificat 20 Stickers dont 19 représentants ces petits cache-fesses que vous pourrez arborer fièrement en les collant sur vos agendas Hentaï. Certains diront que c’est un peu chiche, moi franchement ça me fait bien marrer, j’adore.
Le certificat reprend le numéro d’exemplaire issu de la boite avec une écolière tout à fait pas majeure prête à partir en guerre. Le « Panty Party » de ce carton est en relief. Jolie. Le CD Il se présente avec un quartier Japonais pas encore à feu et à sang, et évidemment un de nos protagonistes à nœud rose. Curieusement il est mentionné « Karaoké Soundtrack », et Dieu sait si j’aime le karaoké, ça n’augure que du bon !
Mais au dos c’est un peu la trace de pneu qui vient gâcher le truc… Il ne s’agit en fait que d’un CD 2 titres comme dans le bon vieux temps… Bon après je vous laisse découvrir par vous même le titre principal, digne d’un Katamari Damacy, à base « Panty, panty, papapapapa, panty panty ». Le fond quant à lui laisse entendre une invasion Terrienne, mais heureusement qu’un ange culotté est là.
A l’intérieur, sympa mais finalement classique, le CD réutilise l’artwork de la jaquette, le fond nous remontre ce fameux quartier lambda. La cover, si elle nous dévoile un autre artwork d’une autre fille tout à fait pas majeure elle aussi, se déplie et on y découvre un très jolie paysage avec une nouvelle héroïne fort bien équipée bien que je suppose pas tout à fait pas majeure. La culotte
Alors là… je sais bien que l’on avait déjà eu droit au caleçon de Vincent dans le collector US de Catherine premier du nom, mais là… Mais alors là… je suis sur le cul. Ben… heu… c’est… une culotte. Une vraie. Rose. Avec un petit nœud. Et de la dentelle aussi. Ha, et le titre du jeu à l’arrière-train. Niveau taille on oscille entre le XS et le S. Si elle siérait fort bien aux 3 prétendantes susmentionnées, je constate que votre serviteur, aussi svelte soit-il, ne pourra malheureusement pas parader avec. Et ça, ça me rend trèèèèès triste.
En tout cas on peut dire que cela colle parfaitement avec la thématique du jeu, au cas où l’on n’aurait toujours pas compris de quoi il en retourne. Le jeu La jaquette est une fois de plus parfaite , sans ajouts gâchant l’œil coquin qui y verra une demoiselle accompagnée d’un sous-vêtement. S’il est à côté d’elle, je me demande du coup ce qui se cache sous sa jupe ? Bref.
Au dos, bienvenu dans « WTF Land » avec certes 2 captures in game, des slips, et surtout des phrases chocs qui donnent envie : « Volez en tant que culotte dans la rue et entre les buildings, cherchez les culottes ennemies et bottez leur cul » « Musique entrainante, c’est la mélodie des culottes » « Batailles excitantes, multiples zones de combat et une collection unique de culottes ! »
Haaaaa *soupir* on a du cul de vivre en 2019. Si seulement ma grand-mère me voyait. Quel ne fut pas mon étonnement en ouvrant la boite en découvrant, certes une cover réversible reprenant en partie l’image du certificat, mais surtout une notice  !
Alors oui, nous ne pouvons jouir que de 10 pages mais elle a le mérite d’exister ! On nous explique les commandes et les différents modes de jeu, en couleur, agrémentés d’images et de captures… Dommage qu’elle ne nous explique pas le pitch, mais j’imagine que c’est encore une histoire de fesses. Bonus Voilà pour finir la mini boite porte clé relative à ce Panty Party . Reprenant la jaquette de son homologue grand format il s’agit d’une copie parfait et toute kawaï qui vous accompagnera partout où vous allez.
Vous serez toujours prêt à dégainer votre attirail pour peu que vous ayez votre console sous la main, faisant mourir d’envie vos voisins dans le métro et vos collègues en société. Conclusion Je vais vous dire : Il s’agit du jeu que j’attendais le plus cette année. Sérieusement. Avec ce concept qui me trou le cul, je me devais de foncer tête baissée dans cette aventure à s’en faire péter l’élastique !
Nonobstant, c’est quand même une sacré bonne édition limitée que l’on nous propose là. Pour moins de 50€ on a tout ce que l’on peut demander à ce type de produit ; OST (maigrelette mais OST quand même), stickers, notice, un goodies atypique qui colle avec l’ensemble, les bonus… le tout enrobé dans de jolies packaging. Après, je vous l’accorde, il faudra adhérer au délire, mais je ne peux que saluer le geste d’avoir eu le culot de pondre ça. La guerre est en marche, vive la révolution, vive la fête du slip !