Salut les kiki ! Vous les femmes, vous le charme, vos sourires nous attirent et nous désarment… et nous les hommes ne sommes que pauvres diable qui payons nos adultères.

Et encore plus dans ce nouvel opus de Catherine ! Enfin, nouvel opus, c’est vite dit, puisque l’on est plus en présence d’une version « enhanced » qu’une suite pure et dure.

Sous titrés « Full Body », ce dernier grimpe un peu plus les échelons et nous proposant non seulement de choisir entre les traditionnelles Catherine et Katherine, comme dans le jeu original de 2011, mais inclus une nouvelle venue, qui semble douce comme un agneau et aussi bêêêêêlle que les 2 autres : Rin.

De cette intégration découlera donc, selon vos choix, de nouvelles cinématiques et ending. Et si au-delà de l’aspect lore du jeu le gameplay reste presque inchangé – escalader d’immenses tours en déplaçant des blocs façon puzzle-game – tout un tas d’ajouts bienvenues font leur apparition, qu’il s’agisse de nouveaux stages, de nouveaux items ou encore de nouveaux modes de jeux.

Bref, revenons à nos mou… heu des choses plus matérialistes, on est là pour ça après tout. Car l’originalité de cet ovni vidéoludique n’était déjà pas que dans son scénario et dans son système de jeu.

Souvenez-vous, la première itération proposait déjà un collector atypique, sorti sur Xbox 360 et Playstation 3. Hélas, si dans le jeu il fallait choisir entre plusieurs prétendantes, force est de constater qu’il en était de même vis-à-vis des éditions selon le pays.

Et c’est le collector US qui aura fait grand bruit, puisqu’il comprenait entre autres une boite à pizza, une OST, des sous boc, un t-shirt, un poster… mais aussi un coussin, et surtout l’inénarrable caleçon de notre pauvre héros Vincent !

Va-t-on retrouver ce grain de folie dans cette relecture nommée Catherine Full Body : Heart’s Desire Edition ?

Jeu sorti le : 3 Septembre 2019
Sur : Playstation 4
Note JV.com 16/20: http://www.jeuxvideo.com/test/1098904/catherine-full-body-une-relecture-reussie.htm
Meilleur prix : La disponibilité varie selon les marchands. A l’heure où j’écris ces lignes, le meilleur compromis reste la Fnac qui le propose à 79.99€ : https://jeux-video.fnac.com/a13342471/Catherine-Full-Body-Hearts-Desire-Premium-Edition-PS4-Jeu-PlayStation-4#omnsearchpos=2

La boite

 

Elle mesure L= 14cm x l= 14cm x H= 17,5cm

 

Elle se compose d’un fourreau plutôt girly qui donne le ton : Le trio féminin qui entoure Vincent, des bêtes à laine un peu partout ainsi que le descriptif de ce qu’elle contient.

Mention spéciale au dos : Tout est en Français, additionné de captures in-game et d’un descriptif succinct des ajouts déjà stipulés plus haut par votre serviteur.

La surboite enfin retirée, on appréciera le nouveau décor qui se dévoile, plus proche de ce qui nous triturera le cerveau ; à savoir ces satanés blocs à pousser, tirer et escalader.

Vraiment rien à redire sur l’emballage, j’aime beaucoup cette décoration qui résume tout. J’ai bien aimé l’effet de profondeur des montons qui chutent de la tour comme dans un puit sans fond sur le dessus.

Le déballage

Même lorsque l’on ouvre le contenant, une nouvelle surprise apparaît avant même de tout sortir : Les deux bêtes à cornes (non, je ne parle pas de Vincent) côte à côte dont une tentant un petit poutou furtif. Sympa !

A l’intérieur se trouvent :

– Une peluche
– Le jeu en version physique
– Un artbook
– Un CD

 

Tout est correctement maintenu, notamment grâce à la peluche qui fait office de cale pour tout le reste.

L’artbook

Ses dimensions sont L= 13,7cm x l= 17cm. Il possède une hard cover bien solide, une reliure un peu douteuse (à manipuler avec précaution) et contient 50 pages. Le papier est de très bonne qualité et il se consacre essentiellement aux différents protagonistes via divers artwork.

 

Du texte est présent, et le narrateur nous explique un peu sa vision autour du quatuor amoureux. Malheureusement tout restera dans la langue de Shakespeare…

 

 

 

 

 

Bref, un joli artbook, toujours trop petit comme souvent, et qui pour le coup ne ressemble pas au visuel montré lors de la présentation du collector.

Le CD

L’ost se présente dans une pochette en carton, un peu dommage, un boitier Crystal aurait été tellement plus classe.

Il n’empêche, les dessins sur cette pochette et sur le CD sont sublimes ! Surtout celui du CD, très 70’ façon vinyle de Sylvie Vartan (oui, bon chacun ses références hein.)

Attention tout de même, le terme « ost » en l’occurrence est un peu exagéré, le CD ne comportant que 11 pistes, soit loin de la totalité des sons présents dans le bluray.

La peluche

C’était ça que je voulais. Je n’ai acheté l’édition presque que pour ça ! Une peluche de mouton en caleçon toute mimi choupinou pouet pouet !

Ça se passe de commentaires, je vous laisse donc avec les photos. Pour info elle mesure L= 14cm x l= 10cm environ.

 

Le jeu

Si l’arrière est identique à celui de la boite vue plus haut, l’avant est un peu différent puisqu’on a une jaquette dans laquelle Rin est éjectée pour ne laisser que Katherine et Catherine en plus de Vincent, tel un retour aux sources.

 

Mais pas d’inquiétude car on la retrouve dedans ! Et oui, ce n’était qu’un leurre qui cachait un superbe steelbook bien rose et qui cette fois nous montre tous les héros de cette coquine aventure.

 

A l’intérieur, fausse joie, ce que l’on peut penser être une notice n’est en fait que le flyer des mentions légales… Bon point néanmoins, l’intérieur est flocké à coup de moutons et le CD est directement présent dans le boitier métallique (et non à part comme c’est trop souvent le cas…).

 

Conclusion

Si elle n’atteindra pas le summum de l’absurde comme son ainée, cette édition Heart’s Desire n’en reste pas moins intéressante pour un prix somme toute mesuré quand on voit certains autres collectors dépassant allègrement les 150€ pour moins de contenu.

La peluche toute douce est un goodie qui fait indéniablement mouche, étant telle la mascotte de la licence. Le steelbook est très réussi aussi. On se satisfera enfin de la soundtrack et d’un bel artbook, même si on aurait aimé toujours plus à ce niveau-là. Mais bon, à force de pinailler on finit par chercher le mouton à 5 pattes…