Salut les kiki ! Aujourd’hui c’est Jeudi, et le Jeudi c’est Fastboxing (et c’est aussi un jour de la semaine). Préparez-vous à descendre dans le monde de la fantaisie finale… d’une abysse Cid-et râle! 

Vous n’avez pas encore eu l’occasion de vous adonner à World of Final Fantasy  ? Vous voulez bénéficier d’une expérience complète ? Avec tous les DLC ? Tous les ajouts ? En mode nomade ? Tout ça en boite ? Vous le voulez quand ? Maintenant ? MAINTENANT ?

Une seule solution combine toutes ces revendications, pas besoin de descendre dans la rue pour casser la vitrine du Micromania du coin, non, rendez-vous… sur internet . Et oui, car la seule version disponible de manière physique est une version… import . Quelle tristesse.

En effet, si la version originale est bien parue sur PS4 et Xbox One, cette variante estampillée« Maxima » se fait l’honneur de montrer le bout de son Mog sur Nintendo Switch . Et c’est donc la seule ? Non ! Une console peuplée d’irréductibles joueurs résiste encore et toujours à l’envahisseur ; il s’agit de la Xbox One , qui jouira aussi du même objet, étrangement disponible uniquement en Amérique du Nord. Reste que pour la PS4 … il faudra passer par la case DLC dématérialisé payant.

L’opus « Asia » reste donc l’unique heureux élu quant à la mise en rayon de cette jolie boite pour le bébé de Nintendo. Aucun autre pays n’aura droit à ce privilège, même pas le Japon. Et vous verrez très certainement lors de prochains unboxing que ce ne sera pas le seul, loin de là.
Mais allons donc voir d’abord ce que ce nouveau monde a à nous offrir !

Jeu sorti le : Février 2019 (Version Switch)
Sur : Switch/Xbox One/PS4 (en dématérialisé uniquement)
Note JV.com : Pas de note actuellement pour ce Maxima
Disponibilité de cette version Switch :
Play-Asia environ 47€: https://www.play-asia.com/world-of-final-fantasy-maxima-multi-language/13/70cfy9

La boite 

Une boite sous cello sans liseret dont la jaquette, par rapport à son ainé, est très sensiblement différente . En fait on y retrouve la plupart des protagonistes déjà présents sur les homologues PS4/Xbox One mais dans une position différentes, voire à un nouvel emplacement sur la jaquette. En fait, même à l’époque de la version Day One, ça m’a toujours fait penser à la cover de Final Fantasy Chronicles sur Gamecube… pourtant bien différente dans l’absolu.

 

Bref, on constate ensuite certains ajouts et différences qui sont surement dus au Maxima estampillé. Je ne peux en être sûr à 100% nonobstant, n’ayant pas encore plongé dans l’aventure (mais j’avoue que j’ai vraiment hâte).

Au verso, tout est en anglais, à base de sauver le monde, invoquer des alliés, vivre un grand voyage… bref, le dico du bon petit RPG est respecté , rien de bien neuf. Les 2 captures d’écran et l’artwork agrémentant ce dos sont sympathiques et évidemment, tout chibi mignon choupinou.

 

Reste que j’aurais aimé savoir quel sont les fameux ajouts de cette extension ! Bah non, pour cela il aura fallu que j’aille sur internet glaner les infos nécessaires… QUOI QUE attendez, et si j’étais juste de mauvaise foi ? Si dès l’ouverture de ce contenant se trouvait une notice ? Une notice en couleur, avec l’exhaustivité des nouveautés ? Ho oui, et avec de beaux dessins ? Et un mot de remerciement des développeurs ? Et et et l’histoire, narrée telle une aventure épique ? Ho oui, ho oui !

Le déballage

HO 
NON. 
Sans déconner. Nan mais sans déconner. What the fucking fucked fuck ? Comment voulez-vous que je fasse un unboxing dans ces conditions?

 

Comme vous le voyez il n’y a strictement rien  : pas de cover intérieure, pas de notice, pas de surprise… juste cette pauvre cartouche solitaire abandonnée dans une grande boite en plastique. Inadmissible.

 

Même la petite carte est d’une sobriété déprimante, avec son étiquette blanche sous le simple titre du jeu…
Mais bordel, pourtant il y avait tant à dire sur cette édition  ! Il y a quand même, en vrac, de nouveaux ennemis, boss, le new game +, le mode cauchemar, une nouvelle fin, de nouveaux objets… et même un jeu de pêche avec le charismatique Noctis (On attendait que ça…) !

Ou alors, on m’a peut être envoyé une édition Prompto du jeu. Je ne vois que ça. On m’en veut personnellement.

Conclusion 

Pitoyable édition que voilà. Quand j’ai commencé ce fastboxing, je ne m’attendais pas à ce qu’il soit aussi fast ! Rarement un jeu n’aura été si plein de néant, à la limite d’un jeu pirate dont on aurait soi-même imprimé la jaquette « pour faire genre ».

Néanmoins, on est obligé d’admettre que l’on peut se satisfaire de l’existence physique de ce jeu sur Switch. Parce qu’après tout c’est tout ce qui compte, et au-delà de son aspect aussi déplumé qu’un Chocobo avant cuisson à 220°, je préfère 1000 fois ça qu’une version dématérialisée que je n’aurais pas acheté. 

Donc oui, merci l’Asie de nous proposer d’acquérir ce type d’objet, néanmoins, passez-moi l’expression, mais la prochaine fois va falloir se débrider un peu.